through long, lonely nights without love ft. midas
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September Webbs |
Make our own justice
Jeu 25 Mar - 17:37
through long, lonely nights without love ft. midas
Noooooon mais Midas, écoute ! Ecoute mieux !
écoute, mon ami, la détresse d’une femme qui s’en veut qui s’ennuie – il y a une semaine tout juste, je suis venue ici
avec Hyppolite – ton ex, je m’en rappelle, tu vois ?
et ce n’était rien d’inhabituel et ce n’’est ni la première ni la dernière fois que nous faisons ça car on aime la danse, lui et moi ; le savais-tu, qu’il aime danser sans se soucier de ceux qui peuvent le regarder et le savais-tu
je l’ai embrassé.
pas une fois non deux fois alors qu’à l’instant où nos lèvres se sont rencontrées je pensais déjà à toi et
ces nuits
où tu es venu toquer, un peu cassé, sans jamais me confier ce qui n’allait pas mais je vois vite, ces choses-là, les peines de cœur peut-être parce que je n’en souffre jamais – ça saute aux yeux, les douleurs qu’on ne subit pas (excepté peut-être Ezra) et j’ai écouté, Midas, les soirs où tu étais triste où tu repensais à votre histoire d’amour que je n’ai connu qu’à l’épilogue
j’ai
écouté ___________ embrassé
Hyppolite –
Le mec là-bas, là. C’est l’homme de ma vie, ok ? Il me regarde depuis tout à l’heure, il a l’air plein de thunes, lui au moins il partira pas du resto en me faisant payer, hein. coup d’épaule mais c’est juste parce que l’alcool me fait basculer. Donc arrête de dire que ce type pue les emmerdes, tu dis ça DE TOUS.
sauf un dont tu parles peu, jamais
ton ex
(ah, je suis désolée)
je l’ai embrassé.
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Midas Sosthène |
Power without Price
Ven 26 Mar - 18:43
Difficile d'avoir un moment pour le business quand on est accompagné d'une amie comme September. Lui, n'ayant même pas encore pu repérer sa clientèle et elle, déjà ivre à en faire péter un boitier d'éthylotest.
c'est qu'il aurait préféré livrer ça ailleurs, dans un endroit plus discret et moins bruyant surtout pour de grands hommes d'affaires : mais même avec leur grand crâne dégarni, ils doivent être bien mêlés à la foule sans leur costard cravate. Midas envoi alors très rapidement quelques sms avant qu'elle ne vienne le rendre sourd — s'assurant en palpant une derrière fois sa veste que les sachets n'aient malencontreusement pas disparu.
Yeux plissés et main couvrant sa pauvre oreille droite lorsqu'elle lui parle (hurle) d'un homme tout juste rencontré. même pas, d'un simple regard échangé. l'homme de sa vie. dans une boite de nuit et en une minute chrono. sérieusement. « J'saurais pas dire si t'es bourrée ou pas je vois même pas la différence. » une œillade vers le Don Juan du soir. « Sois pas débile par pitié ça fait même pas dix minutes qu'on est là et t'as déjà grillé tous tes neurones. Il a juste remarqué ton décollecté et il s'est dit tiens et si je montrais mon meilleur regard séducteur apprit sur wikihow la veille. Laisse tomber. » tête secouée négativement et les oreilles qui se bouchent quand elle insiste — il ne l'écoutera pas. « mais il PUE les emmerdes JUSTEMENT. Je le sens d'ici son vice de dalleux mais vas-y approche le je suis sûr que tu y verra un filet de bave. » seulement, Midas ne peut pas l'empêcher de faire des siennes et se concentrer sur ses affaires en même temps. Alors il faut faire un choix. « Change de cible, lui il a vraiment une tête je le sens pas du tout, le regarde plus. Tiens, le blond là-bas,» il le pointe du menton. « il a une tête de soumis, vas. En attendant je... vais chercher l'homme de ta vie de mon côté au cas où s'il y a mieux, ok ? » chercher ses clients, oui. cinq minutes, il a besoin de cinq minutes seulement.
c'est qu'il aurait préféré livrer ça ailleurs, dans un endroit plus discret et moins bruyant surtout pour de grands hommes d'affaires : mais même avec leur grand crâne dégarni, ils doivent être bien mêlés à la foule sans leur costard cravate. Midas envoi alors très rapidement quelques sms avant qu'elle ne vienne le rendre sourd — s'assurant en palpant une derrière fois sa veste que les sachets n'aient malencontreusement pas disparu.
Yeux plissés et main couvrant sa pauvre oreille droite lorsqu'elle lui parle (hurle) d'un homme tout juste rencontré. même pas, d'un simple regard échangé. l'homme de sa vie. dans une boite de nuit et en une minute chrono. sérieusement. « J'saurais pas dire si t'es bourrée ou pas je vois même pas la différence. » une œillade vers le Don Juan du soir. « Sois pas débile par pitié ça fait même pas dix minutes qu'on est là et t'as déjà grillé tous tes neurones. Il a juste remarqué ton décollecté et il s'est dit tiens et si je montrais mon meilleur regard séducteur apprit sur wikihow la veille. Laisse tomber. » tête secouée négativement et les oreilles qui se bouchent quand elle insiste — il ne l'écoutera pas. « mais il PUE les emmerdes JUSTEMENT. Je le sens d'ici son vice de dalleux mais vas-y approche le je suis sûr que tu y verra un filet de bave. » seulement, Midas ne peut pas l'empêcher de faire des siennes et se concentrer sur ses affaires en même temps. Alors il faut faire un choix. « Change de cible, lui il a vraiment une tête je le sens pas du tout, le regarde plus. Tiens, le blond là-bas,» il le pointe du menton. « il a une tête de soumis, vas. En attendant je... vais chercher l'homme de ta vie de mon côté au cas où s'il y a mieux, ok ? » chercher ses clients, oui. cinq minutes, il a besoin de cinq minutes seulement.
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September Webbs |
Make our own justice
Ven 26 Mar - 20:28
through long, lonely nights without love ft. midas
Ouin ouin ouin. enfantine, j’imite chacun de tes gestes avec la minutie que seule une amie d’enfance peut répliquer ー dix quinze vingt années à m’entraîner, et les sourcils froncés, et le ton de daron, oh je les connais ; même le fait que tu remarques les blonds en premier ー est-ce que tu l’as réalisé ?
dans le doute, l’alcool décide de parler et je le laisse faire car ça gratte dans le fond de ma gorge depuis que tu m’as dit vouloir venir ici ー il y sept jours six nuits
Hyppolite et moi étions en train de danser.
Un blond, hein. mais je me ravise, le murmure plus bas que le brouhaha tout autour ー je n’ai pas le courage ー ce n’est pas grave, on attendra. Okok, va chercher de ton côté et je vais chercher du mien. J’vais aller chercher un connard qui ne m’abandonne pas en boîte, ce sera déjà ça. bras en l’air. On s’est pas vus depuis deux mois. deux jours. Et tu veux déjà aller pecho ailleurs ! Pauvre de moi, amie avec un goujat ! pauvre de toi, amie avec une fille qui t'espionne parfois ー sait déjà ce que tu es venu chercher ce soir et ceux que tu cherches du regard, mais vraiment par hasard ! c'est que je ne maîtrise pas parfaitement mon pouvoir et j'ai vu ー lu ー des choses, parfois, en me promettant de les oublier
sauf tes échanges avec Hyppolite, je le promets. je n'ai jamais eu l'indécence de les épier ー et quelle boucle infernale, dans mes pensées, de toujours revenir à lui, je crois
qu'il faudrait que je te dise
la vérité.
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Midas Sosthène |
Power without Price
Sam 3 Avr - 23:40
Il n'apprend donc jamais de ses erreurs : et sait, que les soirées passées ensemble finissent toujours de façon catastrophiques. mais cette fois là Midas ne touchera pas à une seule goutte, il s'abstiendra. c'est juste pour le business après tout. Mais l'ivresse grandissante de son amie lui rend la tâche plus compliquée que prévue ー peut-être aurait-il dû venir seul finalement.
Sourcil arqué et bras croisés lorsqu'elle se lance dans une imitation qu'il juge particulièrement pathétique ー tout comme son état. La musique tambourinant suffisamment bien dans ses oreilles et l'attitude de September lui donne déjà des maux de tête. « Arrête de chouiner je t'abandonne pas abrutie, j'en ai pour quelques minutes. Je le fais pour toi en plus. Tu le veux ton mari ou pas ? Je vais te trouver la pépite, fais moi confiance ! » ah, il pouvait bien lui donner de l'espoir, il pouvait bien lui mentir : elle les oubliera de toute façon, ses promesses. « Tu sais très bien que je t'abandonne pas pour pécho ailleurs, j'te rappelle que les coups d'un soir c'est pas dans mes bails. » mais elle est trop bourrée, à quoi ça sert de perdre du temps à ses bêtises. petites tapes rassurantes sur l'épaule de la jeune femme ー essayant de ne pas lui faire perdre plus d'équilibre. « Je reviens mais toi t'as pas intérêt à trop t'éloigner. Je peux te faire confiance September ? » après un bref regard échangé, le livreur disparait dans la foulée sans trop s'égarer pour autant ー mais pourvu qu'elle, reste dans les parages.
Après avoir repéré ses deux clients, le dragon jette de temps en temps un coup oeil par dessus l'épaule pour s'assurer qu'elle ne vienne pas l'interrompre dans ses affaires ー ni même en prendre conscience. « Baissez le prix. » Q u o i ? L'ordre (littéralement) l'extirpe soudainement de ses pensées pour son amie. « Comment ça baissez le prix ?! Vous savez pour qui je travaille ? C'est pas le marché ici, j'ai pas votre temps, normalement je livre pas dans ces conditions alors dépêchez-vous. » des hommes d'affaires ? tu parles, ça reçoit des centaines de milliers d'euros par mois mais ça veut négocier sur de l'herbe. et ça en profite même pas pour régler les soucis de calvities apparemment. « C'est pas la même qualité que ce que vendent les petits dealers indépendants du coin, donc c'est à ce prix là ou rien. » les affaires sont les affaires. des gros clients, il y en a plein, il en fidélisera plein.
Sourcil arqué et bras croisés lorsqu'elle se lance dans une imitation qu'il juge particulièrement pathétique ー tout comme son état. La musique tambourinant suffisamment bien dans ses oreilles et l'attitude de September lui donne déjà des maux de tête. « Arrête de chouiner je t'abandonne pas abrutie, j'en ai pour quelques minutes. Je le fais pour toi en plus. Tu le veux ton mari ou pas ? Je vais te trouver la pépite, fais moi confiance ! » ah, il pouvait bien lui donner de l'espoir, il pouvait bien lui mentir : elle les oubliera de toute façon, ses promesses. « Tu sais très bien que je t'abandonne pas pour pécho ailleurs, j'te rappelle que les coups d'un soir c'est pas dans mes bails. » mais elle est trop bourrée, à quoi ça sert de perdre du temps à ses bêtises. petites tapes rassurantes sur l'épaule de la jeune femme ー essayant de ne pas lui faire perdre plus d'équilibre. « Je reviens mais toi t'as pas intérêt à trop t'éloigner. Je peux te faire confiance September ? » après un bref regard échangé, le livreur disparait dans la foulée sans trop s'égarer pour autant ー mais pourvu qu'elle, reste dans les parages.
Après avoir repéré ses deux clients, le dragon jette de temps en temps un coup oeil par dessus l'épaule pour s'assurer qu'elle ne vienne pas l'interrompre dans ses affaires ー ni même en prendre conscience. « Baissez le prix. » Q u o i ? L'ordre (littéralement) l'extirpe soudainement de ses pensées pour son amie. « Comment ça baissez le prix ?! Vous savez pour qui je travaille ? C'est pas le marché ici, j'ai pas votre temps, normalement je livre pas dans ces conditions alors dépêchez-vous. » des hommes d'affaires ? tu parles, ça reçoit des centaines de milliers d'euros par mois mais ça veut négocier sur de l'herbe. et ça en profite même pas pour régler les soucis de calvities apparemment. « C'est pas la même qualité que ce que vendent les petits dealers indépendants du coin, donc c'est à ce prix là ou rien. » les affaires sont les affaires. des gros clients, il y en a plein, il en fidélisera plein.
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September Webbs |
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Mer 7 Avr - 16:59
through long, lonely nights without love ft. midas
t’es pas foutu de trouver pour toi – retenir Hyppolite, hein Midas – et tu espères le faire pour moi ?
a h.
mais je te le concède, je reste silencieuse, l’alcool m’aura fait oublier demain tes promesses sûrement et, si ce n’est pas le cas, je viendrais à nouveau chouiner dans tes bras. tu me laisses à l’endroit
où j’ai dansé, accompagnée d’un blond que tous deux aimons – pas de la même façon – et j’en ai marre je suis fatiguée de sans cesse, inévitablement, revenir à cette pensée – ce bâtiment comme linceul d’un acte qui pourrais te blesser si jamais tu venais à l’apprendre
qui m’a blessé
d’avoir cédé à mon besoin de plaire au-delà de notre amitié ; alors vas-y, pars Midas, loin de moi et mes regrets, si je disparais
tu n’auras pas à connaître la vérité.
Non, tu peux pas. murmuré alors que tu t’éloignes pour aller rejoindre qui, je l’ignore, peut-être vraiment un nouvel amant et – j’ai
la
nausée
le mélange d’alcool qui menace de remonter jusqu’à la trachée, je m’éloigne de l’endroit où tu m’as laissé. ça s’enchaine dans un flou un peu artistique, le reste, je cogne deux-trois personnes, un tour sur la piste, un verre au bar, et j’arrive –
Comment ça, pour qui tu travailles ? Tu travailles pour quiii ? tous les chemins mènent à toi, Midas.
et je lance à peine un regard sur les gens qui t’entourent – Mon mari est dans le tas ?
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Midas Sosthène |
Power without Price
Sam 1 Mai - 21:35
Nez plissé, prêt à grogner car il comprend déjà que ses clients souhaitent se lancer dans de trop longues négociations. Midas n'a ni le temps ni l'argent à perdre. malheureusement pour eux, le dragon est plus têtu qu'une mule et loin, très loin d'être patient. « A ce prix là ou rien. » répète t-il sans ciller. c'est les yeux qui le dévisagent de haut en bas, les sourires hypocrites et faussement diplomates qui s'évanouissent quand ils saisissent enfin que leur livreur est sérieux. Un silence aurait pu s'installer si seulement la musique remixée derrière ne l'en empêchait pas. Ah qu'il se hâte de les piquer gratuitement sur leur calvitie naissante — car le seum monte déjà beaucoup trop en lui mais peut-être attendra t-il un vrai refus avant de les provoquer. Comment ça, pour qui tu travailles ?
oh non
Il se tourne, aperçoit son amie et pivote une nouvelle fois en levant les yeux au ciel ; les ennuis commencent. Poing devant la bouche, Midas se racle la gorge et pose son autre main sur l'épaule de la panther. puis, discrètement : « Haha je t'expliquerais plus tard promis. Tu veux bien... nous laisser deux minutes ? Rien que deux minutes. » mâchant ses mots, il se fait violence pour ne pas se montrer trop dur avec elle. Sept pourrait facilement partir au quart de tour et c'est pas trop le moment pour jouer les babysitter. Le dragon vient alors infliger un coup de genou aux fesses pour la repousser — et l'attention est de nouveau reporté sur ses clients. « Je sais pas qui c'est. Bon, revenons à nos mout— » rire gras de l'un d'entre eux qui le surprend un peu. « Et la jolie elle est pas à vendre ? » rire gras de l'autre. rire gras en cœur maintenant. Ahuri par ce qu'il vient d'entendre, Midas cligne des yeux au moins trois fois de suite.
P
a
r
d
o
n
?
« Vous » un pas. « avez » deux pas, trois pas. « dit » les mains viennent saisir le col de la chemise du porc. « Quoi ? » et c'est le poing qui vient violemment s'abattre contre la joue de son client. « Aller, rigole, vas-y, RIGOLE MAINTENANT. » secoué dans tous les sens, il ne parvient même pas à distinguer le regard furieux du dragon.
et deuxième coup de poing. peut-être qu'au fond, Midas n'attendait que ça.