a de nombreuses cicatrices dont deux au visage : une sur la pommette gauche et une qui traverse sa lèvre à gauche aussi ※ de volumineux cheveux blonds tombant entre ses omoplates ※ yeux sombres et félins maquillés de noir ※ des tatouages qui recouvrent la peau (un au col qui se propage en symétrie sur ses deux épaules, une fleur fânée entre ses seins, beaucoup de serpents dont un enroulé à sa cuisse droite et un le long de sa colonne, une panthère pour le gang aux côtes gauches…) ※ fume beaucoup ※ voix glaciale et rocailleuse ※ aime cuisiner mais ne saurait pas faire plus qu’une tarte ou un gâteau tout simple ※ apprécie la sobriété et la discrétion ※ tient très bien son alcool ※ accro aux somnifères depuis des années ※ adore le jazz, la littérature soviétique et le cinéma de l’âge d’or ※ tient un club de jazz qu'elle nettoie de fond en comble tout comme son chez elle juste au dessus du bar ※ a un chien qu’elle aime plus que tout qu’elle a nommé affectueusement “mon beau” sans qu’elle ne lui trouve jamais de nom ※ amatrice de thèses féministes et queer ※ adore les flingues et en a une collection énorme ※ pratique plusieurs arts martiaux qu'elle a plutôt appris sur le tas
en profondeur–
son agressivité est née après le traumatisme causée par la découverte de la psychopathie de son frère aîné qui assassina de nombreuses jeunes femmes et se plut à décrire ses meurtres à sa jeune sœur ※ a appris les arts martiaux dans son adolescence au fil de ses rencontres dans des squats ou en centre de délinquants juvéniles (elle s'y est plus sérieusement intéressé théoriquement sur le tard de l'adolescence) ※ la délinquance était une échappatoire plus confortable que les thérapies ※ penchant sadique et insensible quand la violence (la colère) se déchaîne ※ culpabilité bien cachée qui la tient debout la nuit ※trop de sang sur les mains qu’elle couvre de gants la majorité du temps ※ aucun lien avec ses parents (père absent depuis toujours et mère décédée) ※ automysophobie, ses mains sont rongées par les nettoyages trop intenses même si elle gère au mieux ces soucis (être touchée lui déplait quand elle n'est pas proche et peut voir le geste, en cas de moments de faiblesse psy, elle vit le toucher plutôt mal)