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mis(e) à nu • ft. Bowie

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Âge : 24 ans.
Bowie Carnegie

Let's cause a little trouble
Bowie Carnegie
Let's cause a little trouble
Lun 30 Aoû - 20:31




Ton plafond semble parsemé d’étoiles invisibles, une véritable constellation qui tapisse les murs et la chaleur qui persiste au creux de ton cœur. C’est comme si ton salon s’était transformé en voie lactée, ta silhouette semble léviter au centre de la pièce, comme une absence de gravité, une étoile perdue dans l’espace après la confrontation des astres. Tu erres dans ton esprit interstellaire, depuis quand l’univers est-il devenu si chaud ? Quand tu ouvres les yeux, tu es revenu.e sur Terre. Et pourtant, en croisant le regard de l’ange, tu arrives encore à en douter.

Son rire perce le silence, il tire vers le tien et c’est comme si le temps s’arrêtait pour vous laisser profiter de cet instant de complicité. Son rire, il se décompose en constellation dans tes yeux, son sourire illumine le tout et fait briller ta nuit. Tu replaces délicatement une mèche derrière son oreille, le contact bref t’ancre dans la réalité alors que son visage semble être composé de poussière d’étoiles.

« Il est pas trop tard, tu sais ? »

Le bout de tes doigts quitte son visage pour parcourir son bras, tu observes rêveusement ses poils qui s’hérissent, la fraîcheur qui taquine son épiderme. Ses mots sonnent comme des prières, ton corps désarticulé se redresse, non sans laisser une traînée de baisers sur ses épaules.

« Attends, bouge pas. »

Ta silhouette se tord et s’allonge pour saisir ton gilet laissé à l’abandon au pied du canapé. Tu te glisses ensuite dans le dos d’Eden pour l’enrouler dans ton vêtement, pour l’entourer intimement, tes mains qui se rejoignent contre son nombril. Il était rare de te voir aussi calme, les muscles tout endormis, tu laisses ta tête prendre place au creux de sa nuque. Et c’est un moment qui semble presque durer une éternité.

« Un peu. Tu croies que les kebabs sont déjà froids ? »

Ton corps n'attend pas la réponse, il s’est déjà séparé du sien pour se réfugier dans la cuisine. L’extase de l’échange charnel anesthésie encore tes sens, elle empêche ton cerveau de démarrer au quart de tour. Elle t’empêche de penser aux conséquences, de penser au futur, de regarder dans toutes les données dont tu disposes pour éviter la catastrophe, le cataclysme. Alors on oublie, Bowie. On profite, on vit le moment, Bowie du futur détestera notre inconscience demain. C’est avec le sac du livreur dans une main et la bouteille de champagne dans l’autre sur tu fais ton grand retour dans le salon.

« Alors, champagne ? »







Recap:
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Âge : 23 ans
Eden Callahan

Make our own justice
Eden Callahan
Make our own justice
Dim 5 Sep - 2:57



you a peach




that's really lovely 'cuz it's still innocent


Quand Bowie passe ses bras autour de lui, c'est sur sa comète qu'iel embarque Eden. L'enveloppe dans une douceur qu'ellui seul.e sait produire. Eden s'enivre de son odeur douce et sucré, légèrement acidulée. Tout son corps se détend, s'installe, presque prêt à s'endormir, assoupie par ce calme tombé sur ses épaules au rythme des mailles du gilet, en harmonie avec les mains de Bowie glissant sur son ventre. La peau de ses épaules papillonnent encore après le contact de ses lèvres.

Iel cale sa respiration en rythme avec la sienne, appuyant sa tête contre celle qui vient de se poser dans le creux de son épaule, aventure son nez dans les mèches cendré jusqu'à lui embrasser la tempe. Les mains d'Eden se placent sur les avant bras de Bowie, glissent jusqu'à ses poignets. Du bout des doigts iel parcourt les courbes de ses os, les ondulations de ses veines, la finesse de ses phalanges, l'arrondi soigné de ses ongles.

Eden aime trop ce moment pour en compter les secondes, les minutes ou les heures. Le silence qui lui paraissait jusqu'alors toujours plus assourdissant, écho dans ses oreilles comme la plus douce des mélodies qu'on ne saurait entendre. Chanson secrète, dont iel n'avait jamais vraiment appris à apprécier les paroles. Le souffle de Bowie qui chatouille son oreille, la chaleur de chacune de ses expirations, porte avec elle une pluie d'étincelles qui remplacent d'un naturel presque déconcertant, les milliers de mots qu'Eden crève d'entendre.

Bowie se lève, Eden le suit du regard. Iel appuie sa tête contre l'accoudoir du canapé dont iel n'a pas envie de se lever, regarde sa figure élancée sortir de son champs de vision. Ses yeux se ferment, sous ses paupières est encore imprimé le galbe de ses jambes. Iel aime ce.tte Bowie qui n'est pas insta appropriate.
Mais le bruit de ses pas et le froissement du sac sont déjà le signal qu'il est temps de quitter cette torpeur entrainante. Lentement, iel se redresse, plonge une main dans le sac qu'on lui présente avant de la ressentir, une à deux frites coincées entre chaque phalanges.

Déjà les frites sont froides. Une fini coincée entre ses dents, avant de finir rapidement engloutie. Oh, douce texture de carton des frites froides.

Les suivantes disparaissent aussi rapidement que la première, les deux dernières se retrouvent tendues en direction de Bowie.

Tiens, gouttes. Tu crois que réchauffer ce serait meilleur, ou c'est notre destin de les subir froides ?

Son autre main libre retourne dans le sac, en extirpe un des deux sandwichs. En dessous des couches d'aluminium, Eden distingue une faible tiédeur. Avec habilité, iel le déshabille de son emballage métallique. La dextérité dans son mouvement laisserait penser qu'iel a eut l'occasion de s'y entraîner il y a peu de temps.

Bien sûr babe, fais péter. Champagne kebab c'est la cerise sur le gâteau de la journée.

résumé de la flm:





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Bowie Carnegie

Let's cause a little trouble
Bowie Carnegie
Let's cause a little trouble
Jeu 16 Sep - 23:59




C’est comme si une bulle s’était formée autour de vous. Chaleureuse et réconfortante, le temps semble s’écouler au ralenti rien que pour vous. Tu observes son corps se pencher curieusement vers le trésor huileux que tu lui tends, ses doigts aventureux font couiner le plastique, tes mouvements suivent sa lancée tout en installant ton corps à même le sol. Les constatations de ton invité.e t’arrachent un sourire qui, à mesure que les frittes s'enchaînent, se transforme en gloussement amusé. « Froides mais mangeables, je note, je note. ». Tu lea regardes, le coude posé sur la table, la joue maintenue au creux de ta paume, tu te penches vers la nourriture tendue, tes lèvres la saisissant jusqu’au bout de ses doigts. Tes mastications se concluent par un haussement d’épaules résigné. « Ça passe. ». Le goût de la friture froide te parait presque agréable, car ton esprit est ailleurs, il est resté dans les étoiles dans la chaleur de vos étreintes.

Pour être honnête, tu ne ne te considérais pas comme un.e grand.e romantique. Ton intérêt papillonnait de fleur en fleur, avide d’attention et de sensation. Tu t'attaches aussi rapidement que tu te détaches, frivole et fragile, tu as peur de voir ton coeur se briser chaque fois qu’il passe entre les mains des êtres désirés. Mais chaque fois, tu fonces sans regarder où tu mets les pieds, tu t’abandonnes un instant à la recherche de cette chaleur qui te fera oublier le froid glacial de l’espace, petite étoile isolée. Et quand tu te laisses avoir par la mélodie de l’intérêt, c’est toujours en douceur, en tendresse, les caresses et les attentions sans cesse. Alors peut être que tu flirtes avec la romance, juste assez pour tomber en amour jusqu’à en mourir à la fin du jour. Mais quand la nuit se termine, c’est une nouvelle histoire qui s’écrit. Et là, tu veux que le temps s’arrête encore un peu avant le crépuscule.

Un ricanement t’échappe alors que tu prends la bouteille de champagne en otage. Le bouchon de liège se niche entre tes doigts alors que la pression fait trembler tes phalanges jusqu’à ce que finalement, la pluie pétillante se déverse en cascade hors du goulot. Le liquide glisse dans les coupes, rivière de bulle rosé, la couleur de la boisson qui creuse les étincelles dans tes yeux. Tu tends son verre à Eden, le cognant ensuite délicatement au tien pour trinquer. « Bienvenue dans mon quotidien. ». Une gorgée, ça picote la langue. « Alcool hors de prix et kebab du coin. Aussi confus que mon daron après mon coming-out. ». Tu ricanes. Car après tout, la plus grande de tes victoires, c’était d’avoir fait douter ton père du sexe biologique de son deuxième enfant. ((C’est pas Tom qui accomplirait ce genre d’exploit)).

Tu t’attaques enfin à ton festin tant désiré. La robe d’aluminium glisse entre les parois encore tiède du pain chaud, tu salives alors que l’odeur parvient jusqu’à tes narines. La première bouchée te fait tourner la tête, tu lâches presque un grognement de plaisir alors que ton met se décompose déjà entre tes doigts. « Hummm, putain, j’avais tellement la dalle, huh. ». Il fallait dire que vos ébats plus tôt avaient creusé ton appétit, autre que celui de la chair. Et alors que tu croques de nouveau, une pensée te revient en tête. Tu te mets à glousser, ton pouce vient maladroitement retirer un peu de sauce restée sur la commissure de tes lèvres. « D’habitude, j’prends sans oignons en date, pour éviter de sentir mauvais, mais pas de ça entre nous … Tu regrettes ? ». Tu lui lances un regard plein de malice, un peu moqueur, avant d’ajouter en ricanant. « T’as d’la chance, c’est pas ça qui m’arrête. ». A t’entendre, on pourrait presque croire que tu en veux encore, de ces baisers à la cerise. ((Insatiable)).




recap de la flemme:
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Âge : 23 ans
Eden Callahan

Make our own justice
Eden Callahan
Make our own justice
Dim 10 Oct - 12:37



you a peach




that's really lovely 'cuz it's still innocent


Eden laisse glisser son corps mollement le long du canapé avant de finir par terre, jambe croisées et kebab en main, rejoint Bowie autour de la table basse.
gays can't even sit straight, qu'iel aurait ricané sur tumblr.
Iel regarde le bouchon de liège s'échapper de la bouteille et le champagne glisser dans les coupes tout en faisant s'enchainer une à une les frites dans sa bouche, daigne lécher ses doigts et se redresser avant d'attraper la coupe, même si ces maigres précautions n'empêchent pas à quelques tâches d'huile de venir inévitablement flouter le cristal. La fatigue lui fait doucement papillonné les paupières, mais les gargouillis affamés de son ventre le tiennent éveillé. Sa fascination nouvelle pour chaque gestes de Bowie le tient éveillé.  

Tout en riant aux TransJokesTM de Bowie, ses dents se logent dans le pain tiède du convoité sandwich. Eden bascule sa tête en arrière, lâchant un énième soupire de satisfaction, dont la soirée a jusque là été bercée. La deuxième bouchée est cependant stoppée par les taquineries de Bowie, qui laissent a Eden un sourire dans le coin des lèvres et un regard amusé. Sa main vient se perdre dans ses cheveux, ses doigts tirent affectueusement sur une ou deux mèches qui avaient le malheur de se trouver là.

Mais enfin Bowie, ou sont tes manières, on est à table ! En plus tu t'en mets partout

Iel se rapproche, finit d'essuyer de sa langue, le reste de sauce restée au coin des lèvres de Bowie. En profite pour regarder de plus prêt sa gueule d'ange, pourrait presque rester là à compter ses cils, les étincelles dans ses pupilles.

Tu m'as montré que tu savais utiliser ta bouche plus proprement que ça.

Un baiser déposé sur sa joue et iel retourne à son festin, perdant entre temps ses lèvres entre les bulles rosées. Bien vite il ne reste entre ses mains plus que le papier, l'aluminium, et quelques restes de salades, une ou deux goutes au fond de la coupe de champagne. Eden finit par se laisser tomber contre le dos de Bowie, mi de fatigue, mi excité par le jeu séducteur qui s'est ce soir installé entre elleux.

Maintenant ça te dit qu'on fasse les choses dans l'ordre et que tu m'indiques ta chambre ?

Et déjà, iel s'impatiente de se laisser tomber dans les draps blancs. Iel a hâte de s'assoupir avec Bowie entre ses bras. Hâte de sentir la chair de ses cuisses sous ses doigts. De s'essouffler avec ellui, encore une fois.
Iel ne pense pas encore, ou omet volontairement du mieux qu'iel peut, le baiser qu'iel laissera sur ses lèvres avant de s'éclipser une fois que le matin arrivera.

résumé de la flm:






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