medea de mon coeur a écrit:— Eden, c’est faux. Tu mens. Tu mens.
(par pitié)
— Pourquoi ?
(ne viendra-t-il pourquoi
me l’avoir pris
pourquoi

nous
pourquoi

m o i)
et tu éclates, anéantie, en un cri ; ta tête se pose au sol car tu  ne supportes plus la douleur à l’intérieur, tout ton corps comme un poids attiré vers le parquet – c’est faux faux faux
c’est vrai (mon fils ne rentrera jamais)
et tu n’étais pas là et on t’avait promis et ce n’est pas juste et ce n’est pas vrai – hier encore,

tu t’étais juré de le protéger.

Conan mon bebe a écrit:
— notre... chef. c'est lui qui m'a demandé de faire ça et je... j'étais obligé. il m'a dit... il se remémore. écoute. si je le faisais pas, il allait tuer mes amis. il a dit, tous ceux à qui j'ai parlé les deux semaines après notre discussion.

il lève la tête, les yeux brillants et cherche une quelconque once de soutien dans les yeux d'elliot. une quelconque.

— ça veut dire toi. tu fais partie de ces gens.

son prénom tourne en boucle dans sa tête.
elliot, elliot, elliot, elliot.

— elliot.

ça crie dans sa tête.
elliot, elliot, elliot, elliot.

— je veux pas mourir.

si je pouvais je citerais l'entièreté de ce rp mais AAAH
le glenn x agon
lisez-le omg

glenn a écrit:Il n'y avait que Agon pour faire perdre patience à Glenn. Que lui dont les mots étaient assez aiguisés ; et ça n'était pas tant ce qu'il disait qui était affreux, mais bien que ce soit lui qui le dise. Il n'y avait que deux personnes capables de heurter sa sensibilité ; l'un d'eux était mort et l'autre avait tué le premier (quoique Glenn n'en savait rien).

Il n'avait pourtant rien à lui prouver.
Alors pourquoi devait-il s'en convaincre ?
Je n'ai rien à te prouver en comptine, tournant dans sa tête, sans arrêt. Agon en hantise ; mais son absence serait pire.

elliot a écrit:Conan, Conan, eh, t’as fais au mieux, tu pouvais pas faire autrement, c’était pour sauver des innocents ok? Pour moi. Pour me sauver moi. Tu m’as sauvé la vie ok? Merci. Merci.

Ses doigts qui caressent ses tempes dans l' espoir de le calmer, et des mots d'une sincérité enivrante.

la plus belle a écrit:Du thé – je suis passée le prendre chez le gars que tu m’avais montré. Avec un peu de chance, ce sera assez pour que tu ne me vouvoies plus jamais.

je quote mes propres rps j'ai aucune race mais cette phrase d'agon j'ai cru mourir

agon le toc toc a écrit:C'est à ça qu'il était le meilleur.
Jeter son dévolu sur quelqu'un, le détruire psychologiquement jusqu'à pouvoir le ranger dans sa maison de poupée, comme les autres.
Glenn en pièce maîtresse.

(dans le conan x agon)

désolée j'suis en train de crever au fond de mon lit mais la beauté de ce paragraphe ?????

mag a écrit:Elle était son heureuse Icare. Celle qui garderait ses ailes.
Dans un élan de folie passagère, elle l'embrassa en faisant fi de toute voix de la raison qui lui intimait d'en rester là.

c'est trop.
(www.)

Elliot l'insta-famous a écrit:Quelques pas, son téléphone, un selfie devant un des tableaux,

Kirill qui va tous les buter a écrit: au coin des lèvres tu as le sourire vilain
 Tu pourrais rire  pendant un instant  tu pensais
être le tueur dont il parlait.

canopus high on drugs a écrit:oh

exu
bérance
churrigueresque qu’on attribue à nos
cer      c    eu  i      l !!

Absinthe qui call out tout le monde a écrit:« Au lieu de prendre vos faces en photo, n’avez vous pas accès aux réseaux sociaux, ou autre source d’information ? »

Ezra les priorités a écrit:« [...] Midas aussi parce que si j’vis, tu vis aussi : t’as de la thune à me rendre avant de mourir blédard. »

Dolly les priorités bis a écrit:Le parquet grince mais il est ciré, elle sait qu’elle peut drifter avec ses baskets pour au moins garder un peu de flow dans la fuite.  

midas paumé a écrit:une personne se met à hurler des choses incompréhensibles. Le Dragon l'associe alors à un.e de artiste incompris.e se sentant horny dès qu'ils mettent les pieds dans un milieu artistique

hyppo qui n'a aucun instinct de survie a écrit: Et toi là, grand malade, t’es sérieusement d'accord pour qu’il, tu pointes du doigts Kirill (en espérant ne pas capter son attention, nous suive?

mdr on est au centre culturel y a 1 mec ki veu ns tuer c une dinguerie.

e p t e m b e r ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ tu dis  ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎et c’est comme si on revenait trois ー pas ー ans en arrière, à cette villa avec vue sur la plage lorsqu’après le réveil fatigué on descendait pour aller sentir le sable craquer sous nos pieds ; cette même villa où chacune venait et entrait librement pourvu que je ne sois pas là ー et encore que, des fois ー et tu les embrassais, elles, sans même prendre la peine de retirer leur rouge à  ‎ ‎ ‎ ‎lèvres ‎ ‎ ‎ ‎ tu cueillais les miennes et y laissais le goût d’infidélité

orphée a écrit:
Orage noir, prêt à s’abattre ;
ses yeux perdent la raison,
quelques secondes.
Sa main s’en va
(comme un éclair enragé),
attrape la bouteille de vin encore pleine et l’abat avec une violence qu’il ne maîtrise pas sur ton visage.

temperance a écrit:Une gifle, peut-être deux, un verre jeté à la figure, il n’y a là rien de nouveau. La bouteille entière, cependant, c’est du jamais vu.

temperance a écrit:Te vient facilement, la pique nouvelle. « Si seulement il y avait un infirmier dans la salle »

Apollonia a écrit:Oui, tu as voulu fuir dans le déshonneur, après tout, jamais personne ne t’a demandé de te tenir droit. On t’a demandé de rentrer le ventre, on t’a demandé de sourire, de laisser les gros doigts pincer tes joues. Personne n’a jamais voulu de ton courage, sauf Kirill. Et c’est bien pour ça que tu aurais voulu le laisser devant ton méfait d’amour accompli.

Apollonia a écrit:Et toi Apollonia, qui n’a rien mais qui veut tout. Il ne comprend pas pourquoi tu pars, car il a eu le luxe de renier ce qui t’est nié.
Ce n’est pas la peur, c’est la culpabilité, c’est la jalousie, c’est l’envie.
C’est la tienne, la sienne, la vôtre.
C’est Kirill qui n’a jamais vécu sans toi dans son ombre et qui rage de te voir devenir celle d’un‧e autre.

mais
j’ai
fait les mêmes erreurs les mêmes horreurs j’ai ‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎‎‎‎‎‎ ‎‎‎‎‎trompé humilié quitté sans un regard en arrière comme tu le faisais et je
me
hais
de ne pas pouvoir réfuter parce qu’au fond, je le sais depuis quelques temps, c’est vrai. je suis devenue tout ce que je détestais.
tu peux en rire, c’est ton œuvre après tout (ton apogée)

je ne reviendrais pas. j’irais blesser d’autres que toi, et tu regarderas, avide, celle que tu pensais à tes pieds s’épanouir (se pervertir) hors de ta portée ; Non, en fait, tu sais quoi, Ezra ? Pense ce que tu veux. Je sais pas ce que t’essayes de faire. (je te connais par cœur) J’ai même pas envie de le savoir. Je m’en fous de toi. (je mens, je t’ai en horreur) Merci d’être venue me dire mes quatre vérités, maintenant, du balai. A moins que t’aies quelque chose à ajouter ? T’es tellement frustrée d’avoir été larguée que tu peux plus te passer de moi, non ? J’ai bon,
‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ ‎ trésor ?

Elio ce poète a écrit:« Syphillis, j’aime beaucoup ! »

Kirill-qui-fait-peur-mais-moins-dans-ce-rp a écrit:…En bouche la rengaine à un …. gout
……………………………… bien amère

Tu t’interroges, tu colères, voilà enfin qu’elle parle.

…………………………………………………. Après des semaines d’aphasie endeuillée  ……………. (Un mutisme malade)

Des semaines de ……… silence ………
……….pour te pleurer ……des adieux

Des jours qui n’en finissent plus …… Et toi qui te demandes quoi …. faire
Des heures longues dans …………………………………….  la nuit ….. Pour finalement
…………….. Te dire

                     
……………………………… Je m'en vais
……………………………… Tu t’en vas.

Apollonia ma queen ma reine mon tout a écrit:
« Iel a besoin de moi. »

Et c’est faux
C’est vrai

Tu n’oses même pas lae nommer devant lui. Jamais tu ne serais terrifiée de ton frère, mais tu as peur de ce qu’il y a entre vous deux, dans cette distance que tu n’as su étirer, cette colère blanche que vous partagez, vos rages qui se font écho dans les gifles qui cessent d’être des jeux.