unstoppable (circé)
- Messages : 46Âge : 25 ansAutre(s) compte(s) : Midas
Coby Moriarty |
Make our own justice
Mer 28 Avr - 21:49
Offusqué il est. Circé n'a pas daigné l'informer au sujet de son nouveau bijou : alors comme ça on achète une magnifique lamborghini noire et on ne le tient même pas au jus ? La cachotterie est une trahison qui le laisse amer et c'est le désir de vengeance qui maintenant le traverse — l'envie d'exploser chacune des fenêtres et y mettre le feu, tout juste comme à leur première rencontre. ah doux souvenirs. mais au lieu de ça, il s'attarde sur la beauté intérieure du véhicule de luxe et s'imagine déjà le tester. « Si tu crois que tu vas pas me la prêter celle-là. » et le garagiste s'en frotte déjà les mains, fait le tour de la voiture, reluquant les moindres recoins de celle-ci : c'est dans ces moments-là qu'il est bien heureux de s'être lié d'amitié avec ceux qui sont aux antipodes de sa classe sociale — lui qui les méprisait fut un temps.
Les lumières du hall s'allument, une silhouette s'approche et il reconnait facilement celle de Circé. Coby croise les bras, prend la pause comme celle d'une femme cocue et remontée qui attend patiemment le retour de son conjoint pour le sermonner : c'est qu'il ressent approximativement la même chose. lorsque les yeux de son congénère se lèvent enfin vers les siens, il expose un cutter hors de sa veste en cuir et vient infliger quelques coups audibles contre la carrosserie ébène. « Alors, par où je commence ? Peut-être le capot histoire qu'on voit bien les rayures ? J'ai une de ces envies de faire du mal à ce bon gros gros bébé là. » dramatique, le corps s'étend sur le devant de l'automobile, les roues qui s'écrasent un peu plus sous le poids du jeune homme. sourire plein de malice, il pointe ensuite la petite arme en direction du panther. « Je te pardonnerai jamais cette tromperie Circé. Je monte aujourd'hui ou tu me la prêtes trois semaines entières sinon conséquences. » un gamin capricieux.
- Messages : 125Âge : trente-sept ansAutre(s) compte(s) : hyppolite delacroix
H. Circé Park-Rothschild |
Make our own justice
Ven 30 Avr - 13:13
Les minutes inlassables alors que tu jurais chaque instant d’en finir avec les contemplations ; tu profites de la fatigue, de l’exhaustion ;
c’est l’existence qui t’empêche de profiter des mélancolies
(tout pourtant est étouffant et si vide).
Les prémices d’une journée, profitant des dernières secondes à tes allures véritables avant d’arborer des sourires comme diamants factices,
c’est l’heure du retard qui approche,
et finalement tu te résignes.
Enfilant veste et baskets, le téléphone en main quelque instants avant de le renfourguer dans une poche, l’heure au poignet, l’ascenseur en pleine chute, les portes s’ouvrent (bienvenue en enfer).
Quelques pas (bien trop long) pour atteindre la sortie et le regarde tombe nez à nez avec un visage familier.
Coby, cutter à la main.
non mais je rêve, tu lèves les yeux au ciel, les mots à la manière des charabias te paraisse inaudible, t’approchant de la voiture, ignorant ses menaces, tu le fusilles alors du regard, tu vas me ranger gentiment ton cutter et tu montes, j’ai pas le temps pour tes bêtises ou pour débattre avec toi, j’ai pas le temps tout court, l’ordre est donné sèchement, ouvrant la porte et le poussant sans consentement au sein du véhicule ;
vous prenez la route.
Je rêve, maintenant tu m’espionnes Coby ? Des caprices d’enfant, y’en a qui travaille ici, je sais pas si tu te rends compte ? Quand tu vas arrêter d’agir comme une petite-amie possessive, à croire je dois me justifier auprès de toi. Je. Rêve. Qu’est-ce que j’ai fais dans la vie pour mériter un tel imbécile ???? Mon dieu. Et la tirade continue.
c’est l’existence qui t’empêche de profiter des mélancolies
(tout pourtant est étouffant et si vide).
Les prémices d’une journée, profitant des dernières secondes à tes allures véritables avant d’arborer des sourires comme diamants factices,
c’est l’heure du retard qui approche,
et finalement tu te résignes.
Enfilant veste et baskets, le téléphone en main quelque instants avant de le renfourguer dans une poche, l’heure au poignet, l’ascenseur en pleine chute, les portes s’ouvrent (bienvenue en enfer).
Quelques pas (bien trop long) pour atteindre la sortie et le regarde tombe nez à nez avec un visage familier.
Coby, cutter à la main.
non mais je rêve, tu lèves les yeux au ciel, les mots à la manière des charabias te paraisse inaudible, t’approchant de la voiture, ignorant ses menaces, tu le fusilles alors du regard, tu vas me ranger gentiment ton cutter et tu montes, j’ai pas le temps pour tes bêtises ou pour débattre avec toi, j’ai pas le temps tout court, l’ordre est donné sèchement, ouvrant la porte et le poussant sans consentement au sein du véhicule ;
vous prenez la route.
Je rêve, maintenant tu m’espionnes Coby ? Des caprices d’enfant, y’en a qui travaille ici, je sais pas si tu te rends compte ? Quand tu vas arrêter d’agir comme une petite-amie possessive, à croire je dois me justifier auprès de toi. Je. Rêve. Qu’est-ce que j’ai fais dans la vie pour mériter un tel imbécile ???? Mon dieu. Et la tirade continue.
- Messages : 46Âge : 25 ansAutre(s) compte(s) : Midas
Coby Moriarty |
Make our own justice
Sam 15 Mai - 22:52
Il ne peut contenir un sourire qui respire bien trop la satisfaction lorsque les yeux bleus s'élèvent vers le ciel. puis joue avec le bouton poussoir du cutter tout en arborant cet air confiant ; victoire, le trentenaire craque sans que le jeune homme à la tignasse de feu n'ait à faire plus d'efforts — bien qu'un peu déçu car il aurait certainement préféré avoir la Lamborghini à lui seul pour trois semaines que pour quelques minutes en passager qui plus est. alors rectification : c'est plutôt un échec, ses provocations n'ont pas eu l'effet escompté. Petit saut pour retrouver sa stabilité sur la terre ferme et déjà le riche le jette vulgairement à l'intérieur et ok, il est vraiment pressé.
Circé démarre et les remontrances commencent.
Le panther se sent comme un enfant de cinq ans qu'on dispute. « Ah ouais. » il le snob, tête tournée à sa fenêtre pour observer les passants sans réellement y prêter une attention particulière. « T'énerves pas papy, c'est pas bon pour la tension. » scrute maintenant du coin de l'œil le visage fermé et concentré du conducteur pour savourer sa réaction. c'est de nouveau le sourire enquiquineur qui s'élargit sur ses lèvres. « Tu travailles c'est ça ouais c'est ce qu'ils disent tous, allez dis le que t'as enfin un date et c'est pour ça que t'es super tendu du string. Mais mauvaise idée de m'embarquer là-dedans par contre je suis peut-être un bon séducteur mais je saurai pas te conseiller, je sais pas comment vous vous y prenez entre... tu sais entre vi... veillards. » main devant la bouche comme pour faussement masquer le rire sifflant qu'il laisse échapper. comment ne pas se moquer du trentenaire qui non seulement ne fait pas son âge, mais fait mentalement vingt ans de plus ? jamais il n'a rencontré un tel boomer de toute son existence ; il est normal pour lui de forcer ce point jusqu'à l'usure. « Plus sérieusement, pourquoi t'es si pressé ? T'es en retard pour une interview ? » une main vient masser l'épaule de monsieur-j'ai-un-emploi-du-temps-de-ministre, mais la séance peut-être agréable au départ devient rapidement douloureuse quand ses doigts viennent fermement appuyer dans un des petits creux de l'os. « Relax ! »
- Messages : 125Âge : trente-sept ansAutre(s) compte(s) : hyppolite delacroix
H. Circé Park-Rothschild |
Make our own justice
Dim 16 Mai - 14:34
Pulsions interdites, les doigts tatillonnant nerveusement le volant ;
l’asphyxie te semble si tendre,
et pourtant ;
tu veux tant lui arracher la langue.
Oui, un meurtre semblait convenable.
(homiecide)
La conduite, à l’image de tes ardeurs et si brutale ; chaque freinage subit et les dérapages rigides. Provoquer un accident non plus, n’est pas plus mal.
Deux mois d’arrêts et un décès,
ô tendres rêveries, tu ne saurais te défaire de ces chimères ; le rappel à la réalité a quelque chose de presque vulgaire. Œillade vers Coby que tu saurais trop bien massacrer à parler de romances comme de simples frivolités ; odes aux vieillards et pourtant ce n’est pas la vieillesse qui t’emportera.
Le corps entier se cambre, freinant une nouvelle fois lorsque sa main tente (littéralement) de briser tes cervicales ; PUTAIN un klaxon,
un dérapage, des gros connards qui s’échangent amicalement avec la voiture que t’as faillis percuter, à l’arrêt finalement, tu le fusilles du regard
je vais avoir besoin de mon avocate, tu saisis ton téléphone exécutant ton appel, ne lâchant pas Coby d’un millimètre, oui allo ? C’était pour savoir tu te charges des homicides .... tu prends combien ? .... non, pas encore mais je te recontacte quand j’ai plus de détails ... oui bonne journée.
Tu reposes le téléphone un peu plus calme, laissant un long souffle s’échapper, tu réponds enfin : je suis en retard pour un tournage et à cause de quoi ? De tes bêtises Coby, comment tu gagnes ta vie au juste, en emmerdant le monde autour de toi ? non si c’était le cas, tu serais sûrement riche.
Reprenant la route pour quelques minutes, tu finis par trouver une place au sein d’un parking souterrain, tu vas me suivre et tu vas te taire, ok ? tu penses pouvoir faire ça ou ça dépasses tes capacités mentales ? Les connaissant ils vont pas vouloir te laisser partir ou dans tous les cas la sécurité se chargera de toi, soudaine pause, hm, c’est pas plus mal en vrai.
si seulement toi, tu pouvais lui mettre une patate.
- Messages : 46Âge : 25 ansAutre(s) compte(s) : Midas
Coby Moriarty |
Make our own justice
Mer 14 Juil - 18:13
Surpris par le bruit puissant du klaxon et des injures, il retire machinalement sa main de l'épaule du chauffeur. Si la conduite est perturbée et peut-être bien parce qu'il en est lui-même le responsable, l'élément perturbateur, son attitude peinarde et amusée laisse penser qu'il n'en a que faire de leur sécurité. Mais Circé s'arrête et le regard offert n'a rien de chaleureux (l'a t-il seulement déjà été?). Coude sur le rebord et poing contre la joue, le rouquin esquive les yeux foudroyants en observant droit devant lui alors que le trentenaire ne cesse de le réprimander Coby... ne l'écoute même plus et change littéralement de conversation sans aucune transition. « Je pense que cette voiture m'irait mieux à moi, je sais pas. Je pense qu'il y a une connexion entre nous, un feeling. » lèvres pincées pour s'empêcher de s'éclaffer, c'est que jusqu'au bout il jouera le rôle de l'enfant capricieux si on ne cesse de l'infantiliser. car dans le rôle de l'immature, Coby pouvait en être le meilleur interprète : il ne fait que jouer ce qu'on lui attribue après tout.
mais enfin, il se fait silencieux, jusqu'au parking du moins. « Hahaha mais qu'il est marrant celui-là, il lui reste encore de l'humour malgré son aigreur flagrante avec la retraite qui approche ! Entre la sécu et moi, tu crois vraiment que c'est de grands gaillards baraqués costard cravate avec une oreillette qui vont faire le poids ? » la portière qu'il fait claquer raisonne dans le parking souterrain, et Coby fait le tour pour rejoindre le panther. « Bah t'as peut-être raison. Mais s'il y en a qu'un, je te préviens, je vais le niquer comme j'ai jamais niqué quelqu'un. Sinon je brûle sa voiture comme je l'ai fait avec toi lors de notre première renc- » Moment de réflexion. « trop tôt ? Je suis sûr que c'était même pas ta préférée. Si je l'ai brûlée et pas volée, c'est qu'elle ne valait rien. Peut-être presque un million de dollars mais bon. A l'époque j'étais fuck the rich puis je t'ai rencontré. » Une bonne tape au dos et un sourire. « Allez, détend-toi Circé. Promis juré craché je me tais » racle sa gorge puis crache réellement. « croix de bois croix de fer si je mens je vais en enfer ! » et tenue bien droite, levant la main
gauche.
mais enfin, il se fait silencieux, jusqu'au parking du moins. « Hahaha mais qu'il est marrant celui-là, il lui reste encore de l'humour malgré son aigreur flagrante avec la retraite qui approche ! Entre la sécu et moi, tu crois vraiment que c'est de grands gaillards baraqués costard cravate avec une oreillette qui vont faire le poids ? » la portière qu'il fait claquer raisonne dans le parking souterrain, et Coby fait le tour pour rejoindre le panther. « Bah t'as peut-être raison. Mais s'il y en a qu'un, je te préviens, je vais le niquer comme j'ai jamais niqué quelqu'un. Sinon je brûle sa voiture comme je l'ai fait avec toi lors de notre première renc- » Moment de réflexion. « trop tôt ? Je suis sûr que c'était même pas ta préférée. Si je l'ai brûlée et pas volée, c'est qu'elle ne valait rien. Peut-être presque un million de dollars mais bon. A l'époque j'étais fuck the rich puis je t'ai rencontré. » Une bonne tape au dos et un sourire. « Allez, détend-toi Circé. Promis juré craché je me tais » racle sa gorge puis crache réellement. « croix de bois croix de fer si je mens je vais en enfer ! » et tenue bien droite, levant la main
gauche.